Le frelon, ce mal aimé.

Le 27/12/12

Longtemps, j'ai redouté le frelon. Comme beaucoup de personnes, je le considérais comme dangereux, voire mortel pour l'être humain. Victime de ces préjugés, il est aujourd'hui, en danger. Dans certains pays, il est protégé et il est formellement interdit de détruire ses essaims. En Allemagne, toute personne qui détruira volontairement ou involontairement un essaim est passible d'une amende de 50000€.

Bref, j'étais terrorisée, jusqu'à ce que je m'apreçoive qu'une colonie s'était formée dans ma toiture. C'était l'été. Ce qui signifiait qu'elle y était depuis le printemps. Pourtant aucun de ces insectes n'avait pénétré chez moi.

J'ai eu vite fait de m'asseoire su ma terrasse et d'observer les aller-retour de la colonie et ai décidé finalement de n'appeler ni pompiers, ni exterminateurs. juste de me fier à ce que j'avais pu apprendre sur internet : c'est un animal pacifique, grand prédateur et s'in ne rechigne pas à se mettre sous les mandibules une ou deux petites abeilles croustillantes ou des fruits bien juteux, il se nourrit à 90% de mouches.

Sa piqûre est mois dangereuse que celle d'une abeille qui a entre 1,7 et 15 fois plus d'effet que celle du frelon (même si une abeille ne piquera qu'une fois). Un frelon ne viendra jamais vous importuner lors d'un repas à l'extérieur, contrairement à la guêpe.

Une fois ces informations assimiliées, je me suis apperçu qu'effevtivement aucun frelon ne m'avait jamais importunée. Le nid est resté en place toute la saison et j'ai continué à apprendre à les aimer. Seuls deux de ces insesctes que nous avons gentiment repoussés dehors sont rentrés chez nous.